Read the original English version here.
Si vous commencez à publier dans le domaine du tango, à un moment donné, vous avez envie de produire votre guide sur l’étiquette du tango. Voici le mien!
Il y a une bonne façon d'entrer dans la milonga, d'inviter quelqu'un et de prendre sa place sur la piste de danse. |
Les règles universelles de la courtoisie et des bonnes manières s’appliquent aux milongas. L’objectif des codes de conduite n’est pas de limiter la liberté des gens ou de les contrôler, mais, au contraire, de s’assurer que tous puissent passer un moment agréable et pas seulement une petite minorité. Au-delà des règles consensuelles de la courtoisie, du respect et des bonnes manières, il y a quelques recommandations qui s’appliquent particulièrement à la danse sociale et plus encore au tango argentin.
Les nouveaux danseurs peuvent utiliser ces conseils d’étiquette pour guider leurs premiers pas en milonga. Les autres peuvent les lire à titre de rappel, ou comme point de départ d’une discussion s’il y a des recommandations avec lesquelles vous êtes vraiment en désaccord. Je n’ai évidemment pas inventé ces codes de conduite, mais j’y suis fidèle! Enfin, à la plupart d’entre eux. J’ai aussi inclus quelques « règles » que je ne soutiens pas de tout cœur, tout en expliquant évidemment pourquoi. Comme toujours, soyez à l’aise de me donner une rétroaction!
Quand vous entrez dans une milonga, ou que vous avez besoin d’aller de l’autre côté du plancher de danse, contournez toujours la piste, ne la traversez pas.
Le cabeceo :
Ce n’est que récemment que j’ai appris à maitriser cette approche traditionnelle de l’invitation, qui ne demande qu’un contact visuel et un signe de la tête. À Buenos Aires, à peu près tout le monde l’utilise, mais pas ici en Amérique du Nord. Le cabeceo n’était pas vraiment mis en pratique à Montréal quand j’ai commencé à danser le tango à la fin des années 1990, c’est donc une découverte relativement récente pour moi. Cela dit, je crois que le cabeceo est merveilleux et présente plusieurs avantages, sans oublier quelques inconvénients.
Pour les leaders, cela permet d’éviter l’embarras de traverser la salle pour ensuite voir leur invitation rejetée devant tout le monde.
Pour les guidées, éviter le contact visuel est une façon pratique de refuser une invitation sans avoir à vraiment dire non… ou donner un prétexte (voir plus loin à ce sujet). Je crois que cette technique donne également un certain pouvoir aux femmes.
Il y a des gens qui manifestent encore de l’agacement lorsque les femmes prennent l’initiative de l’invitation, mais admettons qu’avec cette méthode, il est parfois difficile de distinguer qui invite et qui est invité. Après tout, si je désire qu’un guideur m’invite, c’est moi qui dois le regarder dans les yeux... alors, il opinera de la tête et je sourirai... à moins que ce ne soit moi qui ai souri et qu’il ait ensuite fait un signe de tête? Cela ressemble finalement à un consentement mutuel. Cette affirmation de soi, même si elle est toute en douceur, n’est pas toujours aisée pour celles qui se définissent comme timides, mais si nous maitrisons cette technique, nous pourrions du même coup éventuellement surmonter un peu cette timidité.
Bien sûr, aucune méthode n’est à l’abri des dérapages. La principale réserve adressée au cabeceo est qu’il peut causer de la confusion. Si la piste de danse est vaste, peu éclairée ou très encombrée, il peut être difficile de déceler « qui regarde qui », donc lorsque quelqu’un fait un signe en direction de notre table, ce pourrait être malaisé de distinguer qui est visé. Chers danseurs, si vous lancez une invitation à quelqu’un et que c’est une autre personne, à ses côtés, qui l’accepte, la réaction polie et élégante est de danser avec la personne qui a accepté, en espérant que vous saurez mieux viser la prochaine fois!
L’invitation verbale :
Tout en prônant un usage plus fréquent du cabeceo, je crois qu’il y a plusieurs situations où il est tout à fait approprié d’inviter quelqu’un verbalement. S’il arrive que vous soyez immédiatement à côté d’une autre personne que vous voulez inviter, il est plus simple d’utiliser la parole. Si vous êtes en conversation avec quelqu’un et qu’une tanda qui vous plaît se fait entendre, bien sûr, vous pouvez lui faire une invitation verbale. De plus, vu que le cabeceo ne fait pas encore partie de la tradition à Montréal ou sur le continent nord-américain, comme c’est le cas à Buenos Aires, ce n’est pas tout le monde qui sait comment l’utiliser, donc, ce n’est pas évident de généraliser son emploi.
Leaders,
ce que vous devez savoir :
Il y a de plus en plus de femmes qui ont
développé un snobisme autour du cabeceo, dans le sens qu’elles vont rejeter une
invitation pour la seule raison qu’elle n’a pas été faite correctement, par
exemple verbalement. Par ailleurs, si vous utilisez la méthode verbale, il y a
certainement quelques
règles à observer et quelques circonstances où ce n’est pas approprié
:
- Elle est absorbée par une conversation.
Elle a un tête-à-tête, ou bien elle tient la main de son partenaire ou elle est assise sur ses genoux. Il est évident que ce n’est pas le bon moment pour l’inviter, mais ce qui semble évident à certains... - Elle semble éviter manifestement
votre regard.
Quoi que vous fassiez, vous n’arrivez pas à retenir son attention. Pourquoi prendre un risque? Si ça ressemble à un canard, ça nage comme un canard et ça caquète comme un canard... - Elle a retiré ses
souliers.
Cela signifie que ses pieds sont fatigués et qu’elle s’accorde une pause ou qu’elle a terminé sa soirée. Ou bien c’est une façon d’envoyer ce message. Donc, à vos risques.
Et, s’il vous plaît, donnez toujours un choix à la personne que vous invitez et acceptez ce choix. Si j’appuie tout à fait le cabeceo, par contre je décourage vivement ce qu’un autre professeur appelait le « grabeceo ». Ce n’est pas correct de prendre quelqu’un par le bras et de l’entraîner sur la piste sans d’abord le lui demander. Ce n’est pas aussi très élégant d’approcher quelqu’un sur le plancher de danse alors qu’elle vient tout juste de terminer une tanda avec quelqu’un d’autre.
Si vous faites une demande et qu’elle la refuse, acceptez sa réponse avec grâce; ne manifestez pas de la contrariété ou ne demandez pas d’explications. Cela va juste rendre tout le monde inconfortable – et va à coup sûr gâcher vos chances d’être mieux reçu si vous faites une demande à une autre occasion.
Ce n’est pas un problème avec le cabeceo, et c’est un de ses principaux avantages. Étant entendu que vous devez faire un contact visuel pour inviter ou être invitée, si vous ne désirez pas danser avec quelqu’un, vous n’avez qu’à éviter son regard.
À mon sens, ce n’est pas parce que quelqu’un fait une maladresse qu’il ou elle ne mérite pas un minimum de respect. Les femmes qui se cantonnent dans le « cabeceo ou rien » disent que les gars qui utilisent la méthode verbale méritent d’être rejetés parce qu’ils ne s’y prennent pas de la bonne façon. Je crois que ce n’est pas juste de punir les danseurs qui n’utilisent pas l’approche que nous préférons. Inviter verbalement est un faux pas à Buenos Aires, mais pas ici, à tout le moins pas encore. Et même si ça l’était, est-ce impardonnable?
De toute façon, si vous choisissez d’accepter une invitation, que vous soyez une femme ou un homme, un guide ou une guidée, vous passez ensuite à la prochaine étape : le plancher de danse (voir ci-bas).
Si vous choisissez de refuser, il y a une étiquette à respecter, là aussi. Mon conseil préféré comporte deux volets : premièrement, soyez aimable. Le rejet n’est jamais agréable, et c’est plutôt rare qu’il soit justifié d’être cassant. Deuxièmement – et j’avoue que je ne m’y tiens pas toujours –, ne mentez pas. Quelles que soient les raisons de votre refus, vous n’êtes pas obligées de les donner; un simple « Non, merci » devrait suffire. Toutefois, ce n’est pas toujours facile de le faire spontanément. Beaucoup d’entre nous avons tendance à nous soucier de l’impact de notre refus, ce qui nous amène à tempérer la déception de notre refus avec une excuse – nos pieds fatigués ou quelque chose du genre. C’est correct si c’est vrai, mais le savoir-vivre commande alors de laisser passer la tanda sans danser, même si le meilleur danseur de la milonga, celui dont vous espériez une invitation depuis plusieurs semaines, vient alors vous faire la même demande.
Et alors s’ajoute la question de qui accepter ou rejeter. Bien sûr, nous dansons pour avoir du plaisir, et nous avons bien le droit de ne pas danser avec qui que ce soit. Mais j’ai quelques remarques à faire à ce sujet.
Quant à moi, mon choix est influencé par la personnalité et l’attitude davantage que par les compétences en danse ou la stricte observation de l’étiquette.
Je suis très en faveur de danser avec les débutants. Après tout, nous sommes tous passés par là, et nous nous améliorons encore lorsque nous dansons avec des danseurs plus avancés que nous. Je n’apprécie pas l’attitude de certains danseurs avancés envers les débutants. Je ne refuse pas, en général, de danser avec des gens en fonction de leurs compétences sur le plancher de danse, mais plutôt sur l’attitude et le respect de l’étiquette.
Les leaders que j’évite sont ceux qui me poussent ou me tirent et plus souvent ne font pas attention à moi, ce qui m’amène à chercher à rétablir continuellement mon équilibre. J’essaie aussi d’éviter ceux qui ne manifestent aucun respect pour les autres danseurs sur le plancher de danse, ceux qui me guident des mouvements trop amples, qui bloquent la circulation ou se déplacent dans tous les sens. Les leaders qui utilisent leurs partenaires comme bouclier ou comme une arme sur la piste sont vraiment une source de stress et rendent impossible une vraie connexion, parce que la guidée doit passer son temps et son attention à regarder par-dessus son épaule pour guider les déplacements dont le leader devrait s’occuper.
Encore pires sont ceux qui amènent leur partenaire à heurter les autres danseurs ou à carrément les bousculer, sans même s’arrêter pour vérifier si personne n’est blessé et s’excuser.
Aussi, les danseurs qui corrigent ou commencent à jouer au professeur
avec leur partenaire sur le plancher de danse sont dans le haut de la liste de
ceux que j’évite, comme le savent bien ceux qui ont lu mon blogue à ce sujet.
À titre de danseurs avancés, si nous acceptons de danser sans utiliser le degré de compétence comme un facteur de rejet, nous aiderons les débutants à améliorer leur niveau. Au même titre, si nous rejetons ceux qui ont une mauvaise attitude, nous en aiderons quelques-uns à améliorer leur comportement.Pour ce qui est de mon plaisir à titre de guidée, ce que je recherche avant d’accepter ou de rechercher une invitation est, dans cet ordre : la capacité d’établir une connexion avec moi; les précautions prises pour évoluer sur la piste; la musicalité – un sens de base du rythme étant suffisant et tout ce qui adviendra de mieux sera un cadeau. Les figures originales et les mouvements amusants font évidemment partie de cette liste, à condition que les critères déjà mentionnés soient respectés.
Je me suis laissé dire que, dans certaines milongas, on tend à ne pas danser avec des gens qu’on ne connait pas avant de les avoir vus évoluer sur la piste avec quelqu’un d’autre. Vous voyez, pour être certains qu’ils sont assez bons pour nous... Après tout, nous ne voudrions pas jouer le rôle du danseur « bon », « cool » ou « branché » qui se produirait avec quelqu’un en dessous de son niveau, qui pourrait le faire mal paraître et ternir sa réputation...
J’espère que vous voyez l’ironie dans mon propos, parce que c’est une attitude que je trouve carrément ridicule.
Cela sent le snobisme et la suffisance, et je suis fière d’annoncer que ça ne se passe pas comme cela à ma milonga, où les nouveaux venus sont bienvenus, accueillis avec un sourire et, avant longtemps, avec un abrazo.
Il m’est arrivé de prendre des risques en acceptant les invitations de danseurs que je ne connaissais pas. De temps à autre, je suis déçue, pour douze minutes. Mais j’ai aussi de belles surprises et eu accès à de nouvelles et merveilleuses connexions.
L’invitation par les femmes :
Est-ce que ça se fait? Oui. Est-ce que tout le monde est confortable avec l’évolution des rôles et que les femmes prennent l’initiative des demandes? Non. Mais c’est à vous de décider ce qui vous convient.
Interrompre
une tanda :
Non, vraiment. Certainement pas au
milieu d’une chanson, ou même entre les pièces musicales. Comme mentionné plus
tôt, ce n’est pas manifester de bonnes manières d’entraîner quelqu’un pendant
la cortina lorsqu’elle n’a pas encore quitté le plancher de danse après la
chanson qui vient de se terminer. Vous ne pouvez pas inviter quelqu’un qui est
encore sur le plancher de danse. Point.
Demander
à une autre personne la permission d’inviter :
Si vous approchez un couple qui se fréquente ou qui est marié, est-il
nécessaire de demander la permission au conjoint lorsque vous invitez l’autre à
danser? Plusieurs pourraient répondre par l’affirmative, mais moi je dirais
non. Peut-être que c’est la féministe en moi qui parle, mais je n’aime pas
sentir que j’ai besoin de demander une permission à mon conjoint pour danser
avec une autre personne ou pour quoi que ce soit d’autre.
Toutefois, je comprends qu’il est important d’être attentif à la présence
de l’autre personne – et cela ne s’applique pas seulement aux couples, mais à
toute personne assise à notre table. Vous pouvez la saluer ou simplement lui
sourire. Personne n’aime se sentir invisible ou ignoré. Et, tel que mentionné
plus haut, si le couple en question est engagé dans un moment « prenant »,
ça pourrait être une bonne idée d’attendre. Les danseurs de tango ont avantage
à bien interpréter le langage corporel sur la piste de danse, mais aussi autour
de la piste.
ENTRER SUR LA PISTE DE DANSE
Quand vous intégrez la ligne de danse avec votre partenaire, faites attention à ne pas couper le chemin au couple qui sera derrière vous. À moins que vous puissiez facilement joindre la ligne de danse à plusieurs pas de distance du couple qui s’approche, faites un contact visuel avec le leader de ce couple avant de prendre votre place.
Photo : Jacques Guibert
Évitez les mouvements amples et de projeter vos
pieds vers l'arrière quand la piste est pleine de monde. |
La tanda :
En général, les tandas sont séparées par des cortinas, de courtes pièces musicales – pas du tango – qui durent jusqu’à une minute. Normalement, on s’attend à danser toute une tanda avec le même partenaire. Être largué(e) au milieu d’une tanda fait très mauvaise impression. Point. Alors, sauf circonstances extrêmes, souvenez-vous qu’une tanda dure de 9 à 12 minutes de votre vie. Même si ce n’est pas plaisant, vous pouvez probablement faire contre mauvaise fortune bon cœur, passer à travers et vous rappeler de dire non la prochaine fois. Toutefois, il y a trois situations où il est acceptable d’interrompre une tanda :
1.
Les deux partenaires se mettent d’accord pour arrêter avant de commencer
à danser.
2.
Une blessure ou une autre urgence survient pendant la danse.
3.
Le comportement du partenaire est tellement déplacé ou irrespectueux
qu’il mérite d’être puni et humilié en public en étant abandonné au milieu
d’une tanda.
La cortina nous donne l’occasion de changer de partenaire. Alors que dans
les milongas les plus traditionnelles de Buenos Aires, tous les danseurs
quittent la piste pendant la cortina, ici à Montréal, il est accepté d’attendre
sur la piste avec notre partenaire si les choses vont bien et que nous avons
convenu de danser une autre tanda. La cortina est aussi le moment de dire
« Merci ». Même si nous devrions toujours remercier notre partenaire
pour la danse, nous ne devrions le faire qu’à
la fin de la tanda. C’est une chose qui m’a été rapportée par des danseurs
débutants après leur première milonga. Ils disent naïvement « Merci »
après la première chanson et sont décontenancés quand leur partenaire quitte la
piste! La cortina est aussi le bon moment pour repérer votre prochain partenaire.
La plupart des danseurs attendent de quelle musique jouera avant d’inviter
officiellement quelqu’un, mais c’est une bonne idée de prévoir ce qui va se
passer et d’agir rapidement, autrement tout le monde sera réservé avant que
vous commenciez à vous manifester.
Pas d’enseignement sur le plancher de danse :
Comme tous ceux qui ont lu mon blogue à ce sujet savent, ce principe
m’importe beaucoup. S’il vous plaît, éviter de donner des leçons ou de corriger
votre partenaire. Mettez-vous au niveau de votre partenaire, et quand quelque
chose ne fonctionne pas, essayez d’améliorer votre propre technique. Les
corrections sont le lot des professeurs et devraient être réservées aux moments
passés dans les cours (cela s’applique aux professeurs également).
Moins de bla-bla, plus de danse :
Règle générale,
réservez les conversations pour les moments où la musique ne joue pas. Des
excuses fréquentes pour des erreurs de pas sont presque aussi fastidieuses que
de recevoir des corrections. Et si vous voulez parler de la pluie et du beau
temps ou de comment a été votre journée, assoyiez-vous au bar.
Gardez un œil sur la circulation :
Leaders, respectez la ligne de danse, évitez de passer
constamment d'une ligne à l'autre, regardez devant vous pour éviter les
collisions et regardez derrière vous avant de reculer.
Guidées, suivez
votre partenaire et évitez de soulever vos pieds à moins d’être certaines que
vous avez la place pour le faire. Cela implique que si vous dansez les yeux
fermés, vous ne devez pas soulever les pieds derrière vous. Si vos yeux sont
ouverts, soyez attentive à l’espace derrière votre guideur. C’est correct de le
retenir d’aller vers l’arrière si cela permet d’éviter une collision.
Préférez la qualité à la quantité!
C’est la
connexion qui a de la valeur. Limitez vos mouvements amples (ganchos, boleos,
salto, etc.), tout particulièrement si la piste est encombrée.
On entend dire
que le tanguero qui danse sans interruption pendant trois heures d’affilée
n’aime pas vraiment le tango, qu’il a juste besoin de dépenser de l’énergie, et
qu’un « vrai » danseur choisit sa musique et sa partenaire – l’un
entraînant souvent l’autre. Je ne suis pas certaine d’adhérer complètement à
cette façon de voir. Bien sûr, il y a une distinction entre celui qui consomme
tout ce qui passe et le gourmet qui agit avec plus de discernement et préfère
les « meilleurs plats », mais n’oublions pas qu’ils aiment tous les
deux s’alimenter! Chacun à leur façon. Tant qu’ils respectent les usages de la
circulation sur la piste, pourquoi les gens devraient-ils s’empêcher de danser
toute la nuit si c’est ce qu’ils veulent?
Pas de délit de fuite!
Des accidents,
ça arrive. Peu importe à qui revient la faute; il est simplement civilisé de
s’excuser et de s’assurer que la personne concernée n’est pas blessée.
HYGIÈNE
On parle de tango. Vous allez être en contact rapproché avec pas mal de monde. Et vous voulez probablement que ces personnes aient envie d’être proches de vous. Certaines choses devraient aller de soi, mais ce n’est pas toujours le cas, alors :
... Si vous allez enlacer une autre personne, lui tenir la main, respirer très proche d’elle et toucher son visage avec le vôtre, vous devriez porter soigneusement attention à votre hygiène personnelle.
... Prenez une douche avant de danser. Portez une chemise propre. Utilisez un antisudorifique ou un désodorisant si vous en avez besoin, et c’est à vous de savoir si vous en avez besoin.
... Brossez-vous les dents avant d’arriver à la milonga et, si nécessaire, mâchez de la gomme ou sucez une pastille à la menthe.
... Si vous transpirez beaucoup et devez vous rendre à la salle de bain entre chaque tanda pour vous essuyer le visage, faites-le. Si votre chemise est mouillée après une heure, apportez-en une ou deux autres de rechange et changez-en au besoin. Beaucoup de gens le font, et c’est très apprécié par vos partenaires.
On parle de tango. Vous allez être en contact rapproché avec pas mal de monde. Et vous voulez probablement que ces personnes aient envie d’être proches de vous. Certaines choses devraient aller de soi, mais ce n’est pas toujours le cas, alors :
... Si vous allez enlacer une autre personne, lui tenir la main, respirer très proche d’elle et toucher son visage avec le vôtre, vous devriez porter soigneusement attention à votre hygiène personnelle.
... Prenez une douche avant de danser. Portez une chemise propre. Utilisez un antisudorifique ou un désodorisant si vous en avez besoin, et c’est à vous de savoir si vous en avez besoin.
... Brossez-vous les dents avant d’arriver à la milonga et, si nécessaire, mâchez de la gomme ou sucez une pastille à la menthe.
... Si vous transpirez beaucoup et devez vous rendre à la salle de bain entre chaque tanda pour vous essuyer le visage, faites-le. Si votre chemise est mouillée après une heure, apportez-en une ou deux autres de rechange et changez-en au besoin. Beaucoup de gens le font, et c’est très apprécié par vos partenaires.
No comments:
Post a Comment